Les 775 films en DVD d'Isabelle
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film(s) dans le(s)quel(s) joue Michael Keaton

2 réponses classées par dates


Batman

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Réalisé par : Tim Burton (1958 - )
En : 1989, USA
Acteurs principaux : Kim Basinger (1953 - ), Michael Keaton (1951 - ), Jack Nicholson (1937 - ), Jack Palance (1919 - 2006)
Genre(s) : New York - New York /c'était demain /cadavre(s) dans le(s) placard(s) /conte de fées relooké
Caractéristiques : 126 mn, couleur

Critique perso :

Une drôle de chauve-souris s'est installée à Gotham City, cette Metropolis du passé qui se serait inventée un futur. Elle s'appelle Batman, et se déguise occasionnellement en homme ordinaire, très riche et très chiant. Un héros aux deux visages, donc, qui ne serait à l'aise qu'avec les affaires à tiroir et les personnalités doubles (voire plus si affinités). Le Joker, comme son nom l'indique, est assez doué dans ce domaine : l'homme qui rit (de se voir si laid en son miroir) serait-il enfin un adversaire à la mesure de Batman..? Des personnages de cartoon camouflés en acteurs, jouant aux petites voitures vernies dans un New-York en légos sculptés.

Much Ado About Nothing - Beaucoup de bruit pour rien

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Réalisé par : Kenneth Branagh (1960 - )
En : 1993, Angleterre
Acteurs principaux : Kate Beckinsale (1973 - ), Kenneth Branagh (1960 - ), Michael Keaton (1951 - ), Keanu Reeves (1964 - ), Emma Thompson (1959 - ), Denzel Washington (1954 - )
Genre(s) : du rire aux larmes (et retour) /heurs et malheurs à deux /jeu dans le jeu /la parole est d'or
Caractéristiques : 111 mn, couleur

Critique perso :

Ca ressemble à la Toscane -ou au Paradis, ce qui est à peu près pareil. Mais c'est trop tard : les humains ont déjà appris à parler, pour s'aimer ou pour se tromper. Les hommes reviennent de guerre, de la gloire plein les poches. Les femmes les attendent -plus ou moins-, des fleurs plein les bras. Ils se parlent, ils jouent à jouer, à s'aimer et à se tromper. Ils en font toute une histoire, ils n'ont que ça à faire. Les acteurs, eux, jouent à jouer à jouer et à se faire prendre au jeu avec délices. "Shakespeare, Shakespeare..." c'était pas le nom d'un scénariste de Howard Hawks, ça ? Ah non ! Plutôt de Mankiewicz et de Wise -entre autres. Une espèce d'ancêtre commun, de nègre universel à tous les peintres de la tragédie de l'existence, et de la comédie du bonheur.

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