Les 775 films en DVD d'Isabelle
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film(s) dont le titre (original ou français) contient 'Indiana Jones'

3 réponses classées par dates


Raiders of the Lost Ark - Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perdue

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Réalisé par : Steven Spielberg (1946 - )
En : 1981, USA
Acteurs principaux : Karen Allen (1951 - ), Harrison Ford (1942 - ), Anthony Higgins (1947 - ), Alfred Molina (1953 - )
Genre(s) : conte de fées relooké /culte ou my(s)tique /pour petits et grands enfants
Caractéristiques : 115 mn, couleur

Critique perso :

En 35, c'est bien connu, les Nazis n'avaient pas grand chose d'autre à faire que fouiller le désert egyptien à la recherche de l'Arche d'Alliance mythique des Juifs, ce truc qui renferme le seul manuscrit connu de Dieu lui-même (celui que Charlton Heston a descendu du Sinaï). Les Américains, qui sentent le coup de l'arme suprème, envoient leur meilleur atout. Jones, il s'appelle Jones. Prénom : Indiana ; profession : archéologue de la mémoire occidentale, explorateur de mythes, savant et aventurier tout terrain. Une sorte de Tintin sexy, plus cuir et moins bien rasé, héritier en ligne directe d'Ulysse et de l'Homme de Rio. Toujours prêt pour un voyage au fond de lui-même, toujours là pour la bagarre contre ses fantômes. Le XXème siècle finissant s'est enfin inventé le héros qu'il aurait dû avoir.

Indiana Jones and the Temple of Doom - Indiana Jones et le temple maudit

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Réalisé par : Steven Spielberg (1946 - )
En : 1984, USA
Acteurs principaux : Kate Capshaw (1953 - ), Harrison Ford (1942 - )
Genre(s) : conte de fées relooké /culte ou my(s)tique /les chocottes à zéro
Caractéristiques : 118 mn, couleur

Critique perso :

A l'Obi Wan bar, tripot de Shangai, Indiana se souvient d'être un héros. Il perd quelques plumes, comme d'hab, mais gagne le droit de trimballer une cruche blonde et un gamin pour le reste du film. Lequel film prend ensuite la route des Indes -des Indes mythiques sous influence Fritz Lang, comme si le Tombeau indou était tombé dans les bas-fonds de Metropolis. L'aventure prend cette fois la forme d'un trip immobile, un Voyage fantastique au fond de gouffres amers, rouges comme des entrailles, chauds comme les enfers. Atmosphère lourde et sombre, ambiance claustro (faudra attendre l'épisode suivant pour affiner le bronzage) : pas facile tous les jours d'accoucher du héros qui est en soi.

Indiana Jones and the Last Crusade - Indiana Jones et la dernière croisade

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Réalisé par : Steven Spielberg (1946 - )
En : 1989, USA
Acteurs principaux : Sean Connery (1930 - ), Harrison Ford (1942 - ), River Phoenix (1970 - 1993)
Genre(s) : conte de fées relooké /culte ou my(s)tique /pour petits et grands enfants
Caractéristiques : 127 mn, couleur

Critique perso :

C'est un peu comme dans le Parrain II : pour comprendre la suite, revenons d'abord aux sources. Indiana, donc, a été jeune, et il a eu un père (sans doute aussi une mère, mais les personnages féminins n'ont jamais été le point fort de la série). Il a tout appris de lui, et puis il a développé son style perso, plus décontracté. Ils sont fachés, ils sont restés rivaux en tout. Or, là, le Père, qui était parti tout seul à la quête du Graal, a été intercepté par des méchants. Au programme du jeu de piste pour le retrouver : visite guidée des égouts de Venise, détour par un châteaux hanté par les Nazis, crochet par Berlin pour récupérer un autographe du Fuhrer, avant de retrouver le bon vieux désert biblique de l'épisode 1. Là, pour avoir le droit de rencontrer un père Fouras de 750 ans environ, il faudra encore résoudre quelques énigmes. On se doute assez tôt que, de toute façon, le père, le fils (et le saint esprit cinématographique) auront droit à l'immortalité des légendes.

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