Les 775 films en DVD d'Isabelle
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film(s) dans le(s)quel(s) joue Marie-Christine Barrault

2 réponses classées par dates


Ma nuit chez Maud

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Réalisé par : Eric Rohmer (1920 - 2010)
En : 1969, France
Acteurs principaux : Marie-Christine Barrault (1944 - ), Françoise Fabian (1932 - ), Jean-Louis Trintignant (1930 - )
Genre(s) : culte ou my(s)tique /en France profonde /la parole est d'or
Caractéristiques : 110 mn, NB

Critique perso :

Jean-Louis est ingénieur depuis peu chez Michelin, à Clermont. Célibataire, il va à la messe et y remarque Françoise. Puis il croise un ancien camarade de lycée devenu prof de philo, qui l'introduit chez Maud le soir de Noël. La nuit sera animée, mais par les esprits plus que par les corps : restés seuls, Maud et Jean-Louis se font des confidences sur le pari de Pascal, dissertent sur le hasard des rencontres et la nécessité d'aimer -et se quittent au matin. Jean-Louis hésite. Entre Maud la brune libre penseuse et Françoise la blonde pieuse, sa dialectique balance. Grand film d'action sur la parole et l'engagement, comme tous les Rohmer, chaudement recommandé à tous ceux pour qui les vies de l'esprit et du coeur sont une grande aventure.

Stardust Memories

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Réalisé par : Woody Allen (1935 - )
En : 1980, USA
Acteurs principaux : Woody Allen (1935 - ), Marie-Christine Barrault (1944 - ), Charlotte Rampling (1946 - ), Tony Roberts (1939 - )
Genre(s) : du rire aux larmes (et retour) /heurs et malheurs à deux /jeu dans le jeu
Caractéristiques : 91 mn, NB

Critique perso :

Sandy Bates, clnéaste américain, la quarantaine. Fut drôle en début de carrière, mais plus au mieux de sa forme. Assailli par les chasseurs d'autographes et les groupies amoureuses, traqué par les fans, les exégètes et les extras-terrestres, il déprime sec (et pas toujours sec, d'ailleurs). Il ne sait plus où donner de la tête et du désir. Il a pourtant toujours excellent goût dans le choix de ses muses-actrices (même s'il a décidément un faible pour les névrosées), mais elles n'ont pas toujours le bon goût d'avaler tous ses atermoiements. Alors, il se verrait bien jouer son propre rôle dans son propre film (même si le seul qui lui plairait vraiment, c'est celui de Dieu). Il imagine un truc un peu surréaliste, sous influence italienne années 60. Pas du tout indigne du maestro du genre, sur le mode désespérément drôle et drôlement désespéré.

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