Les 775 films en DVD d'Isabelle
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film(s) dans le(s)quel(s) joue Ursula Andress

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Dr. No - James Bond contre Dr No

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Réalisé par : Terence Young (1915 - 1994)
En : 1962, Angleterre
Acteurs principaux : Ursula Andress (1936 - ), Sean Connery (1930 - )
Genre(s) : cadavre(s) dans le(s) placard(s) /culte ou my(s)tique
Caractéristiques : 110 mn, couleur

Critique perso :

Première apparition sur la scène du cinéma mondial du plus célèbre des espions glamours au service de Sa Gracieuse Majesté. Son nom est Bond, etc. Le film fixe à jamais le cahier des charges de la série : action, exotisme, traitrises. Costards, cocktails et p'tites pépés. Et un méchant hybride (mi-homme mi-machine, mi-asiatique mi-allemand, c'est dire comme il est méchant), savant fou-génial-mégalo, cruel et raffiné of course (c'est ce qui le perdra), qui manigance dans sa base secréte la fin du monde. Et Sean, à l'aide en eaux troubles comme s'il était au bowling, auprès de qui les méchants et les femmes tombent comme des mouches. Délicieusement désuet et nonchalant.

Casino Royale

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Réalisé par : John Huston (1906 - 1987)
En : 1967, USA
Acteurs principaux : Woody Allen (1935 - ), Ursula Andress (1936 - ), Jean-Paul Belmondo (1933 - ), Jacqueline Bisset (1944 - ), Charles Boyer (1899 - 1978), William Holden (1918 - 1981), John Huston (1906 - 1987), Deborah Kerr (1921 - 2007), David Niven (1909 - 1983), Peter Sellers (1925 - 1980), Orson Welles (1915 - 1985)
Genre(s) : du rire aux larmes (et retour) /entre Berlin et Moscou /jeu dans le jeu
Caractéristiques : 131 mn, couleur

Critique perso :

Patchwork parodique improbable et décousu (Huston n'est pas le seul responsable de la mise en scène, mais c'est le plus connu), cette James-Bonderie de pacotille pompe allègrement dans les séries anglo-saxonnes de l'époque, le cinéma allemand (au moins Caligari et Fritz Lang) et, sans doute aussi, les vrais "James Bond" -mais je n'en ai pas vu assez pour les reconnaître. La moitié du casting joue James Bond (d'où une certaine discontinuité dans l'intrigue), l'autre moitié joue aux guests stars qu'ils sont. Plein de jolies jambes, de poursuites et de bagarres, évidemment. On n'y comprend pas grand chose, mais ça fait partie du jeu. A égale distance entre le nanard et l'art abstrait post-moderne.

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