Les 775 films en DVD d'Isabelle
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film(s) dans le(s)quel(s) joue Ginger Rogers

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Top Hat - Danseur du dessus (Le)

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Réalisé par : Mark Sandrich (1900 - 1945)
En : 1935, USA
Acteurs principaux : Fred Astaire (1899 - 1987), Eric Blore (1887 - 1959), Edward Everett Horton (1886 - 1970), Ginger Rogers (1911 - 1995)
Genre(s) : en avant la musique /heurs et malheurs à deux /jeu dans le jeu
Caractéristiques : 101 mn, NB

Critique perso :

Le danseur du dessus est un Américain à London. Le danseur du dessus fait du bruit -enfin, de la musique- avec ses pieds. En fait, justement, il connaît le secret de la transmutation de l'un en l'autre. Même, il sait transformer les pas en danse, en pas de danse. En plus, il est plutôt mignon. Dommage qu'il soit marié avec son producteur -enfin, avec la femme de son producteur -enfin, apparemment. Sa voisine du dessous est une amazone, aussi à l'aise sur un cheval que dans un costume de plumes. Dommage qu'elle soit mariée avec la femme du producteur du danseur du dessus -ou avec son couturier -enfin, apparemment. Ce vaudeville sautillant est un hymne aux plaisirs de l'artifice, qui ne sont pas des plaisirs pour de faux.

Stage Door - Pension d'artistes

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Réalisé par : Gregory La Cava (1892 - 1952)
En : 1937, USA
Acteurs principaux : Katharine Hepburn (1907 - 2003), Adolphe Menjou (1890 - 1963), Ann Miller (1923 - 2004), Ginger Rogers (1911 - 1995)
Genre(s) : New York - New York /du rire aux larmes (et retour) /jeu dans le jeu /la parole est d'or
Caractéristiques : 92 mn, NB

Critique perso :

Ouvrez bien les oreilles : distribution gratuite de vacheries jubilatoires à la mitraillette ! On est entre filles pas nunuches, dans une pension pour postulantes comédiennes fauchées pas sûres d'avoir une carrière devant -ou derrière- elles. Débarque là-dedans une gosse de riches qui fait un caprice : Miss Katharine Hepburn herself. Bon, nous on se doute qu'elle va finir par assurer sur les planches, mais a priori il y a du boulot : il lui faudra éviter quelques pièges et quelques producteurs intéressés. Il lui reste surtout à apprendre la grande loi des artistes : il faut souffrir pour être bonne ! Drôle mais pas dupe, péchu et amer : un excellent film injustement oublié.

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