Un scribouillard coincé et en panne rencontre un Grec exubérant -Zorba- et l'embarque illico dans sa propriété familiale, dans l'espoir qu'il l'aide à remonter la pente. Il y pleut beaucoup, les autochtones sont très accueillants bien qu'ils s'entretuent un peu, les femmes sont belles mais en noir -mais belles. Traine même là-bas une vieille putain française qui a dû faire toutes les guerres. C'est la Crète, avant l'Euro. Zorba est son prophète, son maître Yoda shooté à l'Ouzo. Le voyage initiatique attendu fait un peu du sur-place et se termine en catastrophe joyeuse -ce qui le sauve in extremis. Enervant et attachant comme un Antony Quinn déchaîné.